Sur sa Triumph, Virginie visite les producteurs, les petites routes de montagne et celles du littoral. D’une truite du Cians, d’une volaille de Pierlas, d’une huile d’olive de Champsoleil ou d’un fromage de chèvre de Peymeinade, aucune terre ne lui échappe, ce ne sera que par des chemins de traverses.
C’est dans l’assiette que vous retrouverez cette liberté affranchie des codes et des stéréotypes. Ne cherchez ni Dieu, ni Maître chez Virginie, seules quelques références, reconnaissantes, affectueuses ou amicales, celle pour Eric Frechon (elle fut son second pendant 5 ans au Bristol), celle pour son papa cuisinier à Pont-l’Évêque ou pour Jacques Maximin.